Il y a certaines soirées que l’on ne peut se permettre de manquer : une soirée où serait présent George Clooney, par exemple. Et quand une de vos bonnes copines possède des entrées pour cette soirée VIP et vous propose de vous y emmener, vous vous dites "it’s going to be a night to remember".
“The revolution will not be televised” - Gil Scott Heron.
1971. Le joli moi de mai est déjà loin, l’année érotique aussi. Le meurtre d’un noir par les Hell’s Angel durant le concert des Rolling Stones à Altamont a sonné le glas d’une utopie hippie condamnée d’avance.
Ah, qu'il l'est loin le temps des Une Fille Dans Chaque Port, des héros misogynes de Peckinpah et autres Snake Plissken ! Le monde d'aujourd'hui a bien changé : John McClane n'est plus qu'un débile mental épaulé par un informaticien, on ne s'étonne plus de croiser des mecs maquillés dans le métro, Lara Croft a pris la place d'Indiana Jones et le gros mâle à l'ancienne, castré par le monde moderne, est sur la pente descendante.
Ecosse, 2008. Un nouveau virus, le Faucheur, fait des ravages dans toute la population. Très vite l’épidémie devient totalement incontrôlable. Pour éviter la contamination de l’ile dans son entièreté, les autorités décident de mettre l’Ecosse en quarantaine. Toute l’Ecosse.
Le Major Dutch Schaefer (Schwarzenegger), mercenaire, est le meilleur dans sa partie. Lui et son équipe ont donc été contacté par Dillon (Carl Weathers, alias Action Jackson ainsi qu’Apollo Creed dans les Rocky, oh yeah), un ancien collègue et ami de Dutch devenu gratte-papier à la CIA, pour une mission bien particulière.
Si Pixar a réussi en vingt ans à s’imposer comme un incontournable du dessin animé, ce n’est pas un hasard. La famille du tout numérique est parvenue à redéfinir les codes de l’animation, aussi bien d’un point de vue technique que scénaristique, avec les œuvres qu’elle a engendrées.
Tandis que le superbe trailer de Speed Racer cingle les yeux des internautes depuis vendredi, revenons un instant sur une des innombrables sources de railleries et critiques chez les détracteurs de la trilogie verte.