Dirty dancing
"Je n'ai rien gardé en mémoire. Absolument rien."
Guerre du Liban. Beyrouth. Sabra et Chatilla. Des mots qui résonnent et qui triturent la mauvaise conscience du peuple israélien. Des instants, des visions qui alimentent les cauchemars du peuple palestinien.
- Détails
- par Nicolas Zugasti
- Analyse
L'enfer de Dante
A l’origine délimitation spatiale, le terme banlieue est devenu en France un formidable répulsif car désignant inconsciemment un fourre-tout cosmopolite et fantasmatique peuplé de cailleras converties à l’Islam et s’adonnant au trafic de drogue entre deux tournantes, tandis qu’en Amérique il est synonyme de havre de paix. Enfin, ça c’était avant que Joe Dante n’y plante sa caméra…
- Détails
- par Nicolas Zugasti
- Analyse
Joueurs-nés
A priori, Exilé semble confirmer la position des détracteurs du cinéma de To, préférant l’esthétique à toute émotion. Or ce sublime hommage au cinéma de Leone en forme d’épitaphe révèle avec grâce la mélancolie infusant toute l’œuvre du génie hongkongais.
- Détails
- par Nicolas Zugasti
- Analyse
He’ll be back to the future
Douze ans après un jugement dernier évité de justesse, le terminator revint sur les écrans tenir sa promesse mais sans James Cameron pour présider à sa destinée. Crime de lèse majesté ? Pas du tout ! Car revoir sur son home cinema Terminator 3 - Le Soulèvement Des Machines n’est pas qu’un bon moyen de tester le rendu sonore de ses enceintes !
- Détails
- par Nicolas Zugasti
- Analyse
Noir désir
Contrairement à ce que son absence d’actualité pourrait laisser croire, James Wan n’est pas l’homme d’un seul film, le roublard Saw. C’est sans compter son excellent Death Sentence qui conte le parcours du cadre supérieur Nick Hume, un homme pressé d’en finir avec les meurtriers de son fils, un homme pressuré par son noir dessein.
Hitler d'un con
Une "série Z indigne qui ne soucie même plus de son public" pour certains, un mauvais téléfilm en carton-pâte pour d'autres. Vraiment ?
Deep blue seed
- Détails
- par Lucas Mario
- Analyse
Hime à la nature
En cette période de succès de film avec gros arbres et filles sauvages, dire qu’un film est "écologique" équivaut à ne rien dire du tout. Depuis quelques temps ce qualificatif concerne plus ou moins tout œuvre incluant dans son scénario un bégonia ou un hamster.
- Détails
- par Nicolas Zugasti
- Analyse
Coups de dents dans la Sierra
En 1998, nul doute que si les célébrissimes Esquimaux Euhouards avaient existé, l’Esquimau du meilleur film boudé par le public aurait été attribué au petit chef-d’œuvre de John Carpenter, Vampires. Vous ne préférez tout de même pas Blade 3, Underworld ou Twilight !?