Critiques
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- par Castor destroy
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No country for oil men
Le désert promet richesse et fortune à ceux qui osent s’y aventurer (surtout s’ils cherchent la statuette qui va bien avec). Comme le dernier long-métrage des Coen, There Will Be Blood est de ces films qui creusent (et c’est le cas de le dire) au-delà du label "film à Oscar" et transcendent le genre pour nous plonger dans l’envers du rêve Américain.
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- par Nicolas Bonci
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Magnéto cierge
En se filmant dans son salon avec un Rubik's Cube, Michel Gondry crée l’événement. Fatalement, quand il propose de refaire des classiques hollywoodiens à sa sauce, tous les fans du bonhomme frétillent d'excitation.
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- par Nicolas Bonci
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Peindre et faire l'obscur
Amsterdam, 1639. La milice bourgeoise commande au grand Rembrandt une toile les mettant à l'honneur. Futur père, le peintre accepte cette proposition fort bien rémunérée. Mais tandis qu'il s'atèle à sa préparation, un des mousquetaires commanditaires décèdent suite à un accident de tir.
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- par Nicolas Zugasti
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Last blood
Après Rocky l'année dernière, Stallone met personnellement un terme à une autre franchise emblématique des 80's, Rambo. Deux personnages qui entretiennent des liens étroits avec leur interprète. Si Rocky est la face lumineuse de Sylvester Stallone, Rambo en est le versant sombre. On peut même énoncer que l'étalon italien incarne ainsi à lui seul toute l'ambivalence des Etats-Unis.
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- par Nicolas Bonci
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Vous avez demandé la police, ne quittez pas
Nous déplorons suffisamment la disproportion au sein de l'Hexagone entre les productions de FAA vendues par palettes de douze et le peu de films de genres divers qu'il nous aurait semblé idiot de ne pas évoquer ici le dernier film de Jacques Maillot.
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- par Nicolas Zugasti
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L'abomination de Manhattan
Dire que Cloverfield était attendu au tournant est un euphémisme. Articulant sa promotion autour de l’absence d’images du monstre et son concept d’une narration ultra réaliste, le film se révèle au final beaucoup plus complexe : riche de plusieurs niveaux de lecture et d’appréhension, il tend à exorciser un traumatisme collectif tout en rendant hommage à l’écrivain Howard Philip Lovecraft (L’Appel de Cthulhu, L’Abomination De Dunwich, Les Montagnes Hallucinées, etc.).
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- par Nicolas Bonci
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Indépendants de leur volonté

Béni soit le film indépendant US de l'année, débarquant dans nos salles gavé de récompenses et autres nominations aux Oscars, car grâce à cet objet de culte savamment produit pour être officiellement désigné comme LE petit bijou qui renverse les festivals, le cinéphile peut s'en aller consommer de la comédie niaise ricaine sans renier ses principes d'insurgé contre ce sale monde capitaliste.
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- par Nicolas Zugasti
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"...l'essentiel est de participer, à ce qu'il paraît."
Vous avez tous lu les "10 bonnes raisons de ne pas aller voir Astérix" de nicco. Difficile après lecture de se motiver pour aller voir la "bête". Passant outre toute influence extérieure, je m'astreins donc à une vision de Astérix Aux Jeux Olympiques comme tout bon adepte de "gonzo" journalisme.
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- par Nicolas Bonci
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Agad la té'évision épi dor
Les networks américains et sérievores de tous horizons peuvent sabler le champagne, la grève des scénaristes est finie, le monde merveilleux de la télé US va pouvoir reprendre une activité normale. Enfin, façon de parler, évidemment.