Critiques
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- par Nicolas Zugasti
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Écorcé vif
"Tire-larmes", "larmoyant", "manipulation"... Voilà quelques qualificatifs qu'on a pu lire à propos de Quelques Minutes Après Minuit. Plus qu'une certaine insensibilité, ces termes pourraient illustrer une difficulté à se laisser aller. Ça tombe bien, c'est le sujet du film de J.A. Bayona.
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- par Nicolas Zugasti
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Héros malgré lui
Pour éviter un crash mortel, le pilote Chesley Sullenberger réussit miraculeusement à poser son appareil sur la rivière Hudson au cœur de New York, sauvant ainsi tous les occupants. Pas de quoi tenir en haleine sur un film entier ? C'est bien mal connaître le grand Clint.
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- par Nicolas Bonci
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La paix des clones
Quand Star Wars (La Guerre Des Etoiles) sort sur les écrans américains en mai 1977, George Lucas est un jeune cinéaste prometteur après deux premiers longs-métrages, THX 1138 (1971) et American Graffiti (1973).
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- par Guillaume Meral
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Life during wartime
Il est toujours bon de le rappeler : la vie est injuste. Encore plus quand le mauvais sort s'exerce aux dépends de ceux qui s’échinent à la rendre meilleure à travers leur pratique. De ce point de vue, on peut dire que Robert Zemeckis a l’art généreux.
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- par Guillaume Meral
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Sad Cruise
Les franchises actuelles ont beau ne pas être notre panacée, on attendait ce Jack Reacher. Car le personnage, hyperbole de bad motherfucker écrasant du pouce les super-slips en crise d’identité, s’impose comme une des plus belles icônes produites par Hollywood récemment.
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- par Nicolas Bonci
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Naissance d'une contamination
Sok-woo, col blanc déconnecté de sa famille, raccompagne sa fille chez son ex par le train. Une jeune femme malade s'y réfugie avant le départ alors que de violents heurts éclatent dans la gare…
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- par Guénaël Eveno
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Le diable aux corps
A Cannes, où il fut présenté hors compétition au dernier festival, la radicalité du nouveau film du Coréen Na Hong-jin n'a pas convaincu. The Strangers porte pourtant le polar, le drame et l'horreur à un niveau d'intensité rarement atteint.
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- par Nicolas Zugasti
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Finance mécanique
La crise financière de 2008, de ses prémisses à ses répercussions, est devenue depuis quelques temps un genre à part entière. Et comme pour tous les autres genres auxquels Johnnie To s’est attaqué, le cinéaste hongkongais y apporte une étonnante contribution.
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- par Guénaël Eveno
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Mode et rations
Avec Only God Forgives, Nicolas Winding Refn proposait une tragédie où mise en scène et esthétisation élaborée des plans ne s'embarrassaient plus d'un quelconque aspect narratif.